13 trucs qu’on fait tous à Vélib’

Jeunes, senior, confirmés ou en devenir… il existe toutes sortes de Parisiens à Vélib’. Et nous avons tous quelque chose en commun : nous adorons enfourcher notre Vélib’, peu importe le moment ou le temps. C’est devenu un véritable mode de vie avec des combines et des habitudes que l’on partage tous sans vraiment le savoir. 

1. On ouvre la fenêtre dès le réveil pour vérifier la météo et décider si Vélib’ est une option.

2. S’il fait beau, on saute de joie, et on vérifie tout de suite l’appli pour voir les Vélib’ dispos à proximité.

3. S’il fait gris, on met la main pour tâter l’humidité : s’il pleut ou qu’il vente trop, ce sera métro. En revanche, quelques gouttes ne nous empêcherons pas d’enfourcher notre Vélib’ !

4. On enfile sa parka, ses gants et son casque (on n’est jamais trop prudent) et on court pour tenter d’attraper le plus beau des Vélib’ disponibles. Et si on roule de nuit, on n’oublie pas les vêtements fluo, et de s’équiper avec le plus de lumières possible.

5. On est frustré de voir une autre personne plus rapide pour avoir le dernier, mais on ne se laisse pas abattre. Il y a des stations tous les 300 mètres après tout !

6. On vérifie que la selle est bien ajustée et que les freins et les pédales fonctionnent bien.

7. On connait tous les meilleurs raccourcis et on est heureux de voir que l’on arrive parfois plus rapidement au bout de la rue que l’automobiliste croisé plus tôt.

8. On sonne quand les piétons ou les scooters restent un peu trop longtemps sur la piste cyclable.

9. On râle quand un automobiliste ne met pas le clignotant ou qu’il se gare sur la piste cyclable.

10. On ne fait pas les malins quand on monte une côte, comme celle de Belleville ou de Montmartre, mais on est fiers quand on arrive à destination.

11. Quand on se retrouve dans une rue à double-sens cyclable et qu’une voiture arrive en face, on s’arrête (voire, on se rabat sur le trottoir) parce qu’elle prend toute la place.

12. On déteste quand d’autres cyclistes – type coursiers – super rapides nous foncent dessus en abusant de la sonnette.

13. Et malgré tout, on se sent les rois des déplacements à Paris, libres comme l’air !